Mon effet bonne mine resplendissante
L’écrivain Sylvie Bourgeois raconte sa première expérience avec le soin à l’oxygène MAISON FLAMEL.
Le soin à l’oxygène MAISON FLAMEL que m’a fait tester Samer Zakharia sur son corner situé au premier étage du Bon Marché Rive Gauche dans l’espace de la Petite Épicerie de la Beauté, récemment baptisé Loft de la Beauté, réservé aux nouvelles marques qui mêlent naturel et technologie de pointe, m’a tellement plu, et aussi, je l’avoue, les nombreux compliments que j’ai reçus le soir-même, à l’inauguration à laquelle j’étais invitée (comme quoi j’avais une mine resplendissante), que, dès le lendemain, je réserve un soin complet d’une heure au spa de l’hôtel Bel-Ami, au cœur de Saint-Germain-des-Prés. Vous l’aurez compris, MAISON FLAMEL est la marque de beauté germanopratine par excellence, l’écrin du quartier latin lui sied à merveille.
Après un nettoyage du visage au Lait Micellaire destiné aux peaux fines et sèches comme la mienne, suivi d’un léger gommage effectué avec un saphir exfoliant, l’esthéticienne pulse sur ma peau, à l’aide de l’appareil FLAMEL, né d’une technologie allemande breveté et issu de 20 ans de recherches, dans une chorégraphie de mouvements étudiés, de l’oxygène mêlé à de nombreux actifs naturels sélectionnés par Samer Zakharia, en fonction des besoins de notre peau. Pour moi, c’est hydratation, hydratation, hydratation.
Après un somptueux modelage antirides avec le Baume AUR qui, je pense, a été conçu pour moi tellement ma peau l’adore, en sortant de ma cabine de soins, j’ai le plaisir et la chance de croiser Samer qui est venu me saluer, curieux de connaître mes premières impressions. Je suis emballée et encore plus emballée lorsque je rejoins mon mari avec lequel j’ai rendez-vous au café de Flore pour déguster mon chocolat chaud, très chaud, très chocolaté, et qu’il s’écrie, ébahi : « mais que tu es belle ma chérie, tu es toujours belle », ajoute-t-il, amoureux.
Le seul regret de mon mari est de ne pas m’avoir connue jeune, nous nous sommes rencontrés il y a quinze ans. Qui sait, grâce à MAISON FLAMEL, si je rajeunis à chaque séance, son souhait sera peut-être exaucé ?
Commentaires